The Conservative Party does not support forced political, cultural, or ideological training of any kind as pre-condition of employment or practice. Those employed in the public sector, unions or self-regulated trades/professions should not be forced to make affirmations, or participate in ideological programs, as a condition of employment or practice.

Freedom of speech and belief is necessary in the workplace as much as it is on campuses of colleges and universities. Canadian workers in all professions should never be required to undergo ideological indoctrination as a condition of employment. Yet, many must now endure the requirement to attend workshops on “equity, diversity, and inclusion” – which are often taught in the most ideologically skewed manner, allowing no opportunity for scrutiny or for an alternative point of view. It is totalitarian in nature and stifles the open exchange of ideas required for a vibrant economy and socio-cultural harmony.

Protection des travailleurs : ceux des syndicats, du secteur public ou des professions ou métiers autoréglementés. 

Le Parti conservateur ne soutient pas la formation politique, culturelle ou idéologique forcée, quelle qu'elle soit, comme condition préalable à l'emploi. Les travailleurs sous réglementation fédérale ne devraient pas être obligés de faire des affirmations ou de participer à des programmes idéologiques comme condition d'emploi.

Justification:

La liberté d'expression et de croyance est nécessaire sur le lieu de travail comme sur les campus des collèges et des universités. Les travailleurs canadiens de toutes les professions ne devraient jamais être obligés de subir un endoctrinement idéologique comme condition d'emploi. Pourtant, nombre d'entre eux doivent aujourd'hui subir l'obligation d'assister à des ateliers sur "l'équité, la diversité et l'inclusion" - qui sont souvent enseignés de la manière la plus idéologique qui soit, ne laissant aucune possibilité d'examen ou d'expression d'un autre point de vue. Cette approche est de nature totalitaire et étouffe l'échange ouvert d'idées nécessaire à une économie dynamique et à l'harmonie socioculturelle.