In principle, the Conservative Party opposes euthanasia and assisted suicide. Furthermore, we oppose the extension of euthanasia and assisted suicide (MAID) to minors, to people who are not competent, and people who live with psychological suffering (mental illness), and people not terminally ill (their natural death is not reasonably foreseeable).

We oppose MAID for people living with disabilities or mental illness seeking to die based on poverty, homelessness or inability to receive medical treatment. Euthanasia must not be an abandonment of people living with genuine needs.

The Conservative Party in principle always opposed euthanasia and assisted suicide as threats to human security and dignity.  Currently, many members continue to oppose these acts while others, influenced by legalization of both under the euphemism of Medical Assistance in Dying (MAID), find them acceptable.  Proposed policy balances both positions. Implementation would mean to retain changes in the Criminal Code introduced by Bill C-14 and elimination of changes carried out by Bill C-7.  These legislative changes should be accompanied by introducing strict oversight and governance of the MAID program. 

En principe, le Parti Conservateur s'oppose à l'euthanasie et au suicide assisté. De plus, nous nous opposons à l'extension de l'euthanasie et du suicide assisté (AMM) aux mineurs, aux personnes inaptes, aux personnes vivant avec des souffrances psychologiques (maladie mentale), et aux personnes non en phase terminale (leur mort naturelle n'est pas raisonnablement prévisible) .

Nous nous opposons à l'AMM pour les personnes vivant avec un handicap ou une maladie mentale cherchant à mourir en raison de la pauvreté, de l'itinérance ou de l'incapacité de recevoir des soins médicaux. L'euthanasie ne doit pas être un abandon des personnes vivant avec des besoins réels.

Raisonnement:

Le Parti Conservateur s'est toujours opposé en principe à l'euthanasie et au suicide assisté en tant que menaces à la sécurité et à la dignité humaines. Actuellement, de nombreux membres continuent de s'opposer à ces actes tandis que d'autres, influencés par la légalisation des deux sous l'euphémisme d'aide médicale à mourir (AMM), les trouvent acceptables. La politique proposée équilibre les deux positions. La mise en œuvre signifierait le maintien des changements au Code criminel introduits par le projet de loi C-14 et l'élimination des changements apportés par le projet de loi C-7. Ces modifications législatives devraient s'accompagner d'une mise en place d'un contrôle et d'une gouvernance stricts du programme AMM.